Toi bel oiseau,signe de paix et d'espoir quand te verrais je ,volais une fois ne dit on pas de toi, que tu es oiseau sage je voudrais bien y croire quand je regarde ,autour de moi pourtant je ne vois que désespoirs ou es-tu passé bel oiseau blanc jette sur nous ton dénouement reviens nous montrer le bon chasse tout ce qui est mauvais pour que nous puissions vivre un âpre de paix toutes ces guerres dont les pauvres subissent et tous ces enfants qui meurent, nous vivons dans un monde de peur un monde cruel et sans dévergone gouverné par des gens qui on perdu tout bon sens et qui fait de nous des gens,dans la vie n'a plus de sens la pauvreté s'installe de plus en plus et de plus en plus ,des gens n'ont peuvent plus nous vivons de rien ,quand d'autres on n'a pleins je voudrais bien ,bel oiseau blanc que d'un coup ,de tes belles ailes que tu nettoies cette terre pour que tout simplement tous redevienne comme avant
LA PUCE LE 3/03/08
Jardy
Messages : 8409 Inscription : 14/12/2007
Sujet: Re: Poésie... Lun 3 Mar 2008 - 11:35
josse32 a écrit:
MON BEL OISEAU
Toi bel oiseau,signe de paix et d'espoir quand te verrais je ,volais une fois ne dit on pas de toi, que tu es oiseau sage je voudrais bien y croire quand je regarde ,autour de moi pourtant je ne vois que désespoirs ou es-tu passé bel oiseau blanc jette sur nous ton dénouement reviens nous montrer le bon chasse tout ce qui est mauvais pour que nous puissions vivre un âpre de paix toutes ces guerres dont les pauvres subissent et tous ces enfants qui meurent, nous vivons dans un monde de peur un monde cruel et sans dévergone gouverné par des gens qui on perdu tout bon sens et qui fait de nous des gens,dans la vie n'a plus de sens la pauvreté s'installe de plus en plus et de plus en plus ,des gens n'ont peuvent plus nous vivons de rien ,quand d'autres on n'a pleins je voudrais bien ,bel oiseau blanc que d'un coup ,de tes belles ailes que tu nettoies cette terre pour que tout simplement tous redevienne comme avant
LA PUCE LE 3/03/08
C'est bien beau Jo.. :BRAO:
Le mien de bel oiseau ..il cherche un petit nid douillet.. :GTAA:
josse32
Messages : 1128 Inscription : 14/12/2007
Sujet: Re: Poésie... Lun 3 Mar 2008 - 12:01
COUCOU JARDY JE TE REMERCIE BONNE JOURNEE A TOI ET GROS :22pmi:
Toi bel oiseau,signe de paix et d'espoir quand te verrais je ,volais une fois ne dit on pas de toi, que tu es oiseau sage je voudrais bien y croire quand je regarde ,autour de moi pourtant je ne vois que désespoirs ou es-tu passé bel oiseau blanc jette sur nous ton dénouement reviens nous montrer le bon chasse tout ce qui est mauvais pour que nous puissions vivre un âpre de paix toutes ces guerres dont les pauvres subissent et tous ces enfants qui meurent, nous vivons dans un monde de peur un monde cruel et sans dévergone gouverné par des gens qui on perdu tout bon sens et qui fait de nous des gens,dans la vie n'a plus de sens la pauvreté s'installe de plus en plus et de plus en plus ,des gens n'ont peuvent plus nous vivons de rien ,quand d'autres on n'a pleins je voudrais bien ,bel oiseau blanc que d'un coup ,de tes belles ailes que tu nettoies cette terre pour que tout simplement tous redevienne comme avant
LA PUCE LE 3/03/08
Magnifique ton poème, ma Puce ! Tu as une grande valeur de coeur qui ressort dans tes écrits et c'est super ma tite Puce.
j'ai connu la faim,celle ci qui tiraille vos entrailles j'ai connu le froid,celui qui geler mes doigts j'ai connu,la couche comme celle des sans abris j'ai connu,la misère ,celle que l'on veut fuire j'ai connu la crasse,parce que l'on ne se lave pas je me suis battue contre ca,j'ai pris mon courage celui qui était encore en moi et la ,je me suis levée,et j'ai crié,non je ne veux pas de ça je voulais,montrer a celle qui m'a fait ça que jamais ,elle me détruiras, je ne pouvais pas lui donner cette joie je me suis dit alors,léve toi et bat toi si tu le veux ,tu pourras aujourd'hui je suis la,avec un caractère bien a moi celui que je me suis forgée ,avec pleins de rancoeur envers certains qui m'ont fait ça chose que je ne comprends pas il faut connaître cela,pour avoir un coeur gros comme moi connaître la souffrance,pour voir celle des autres et leurs tendrent les bras,c'est ce que je vois quand je vois une portée de chats et que des qu'un petit s'égare la maman le cherche immédiatement et comment un être humain ,ouvre la porte et dis a son enfant va-t-en,en lui prenant son enfant je me dis que les bêtes ont plus d'amour que certains êtres humains
LA PUCE LE 4/03/08
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Sujet: Re: Poésie... Mar 4 Mar 2008 - 9:56
Josse tes ecrits sont toujours aussi émouvants... Je partage ta conclusion.... :BRAO: :GTAA:
Bonjour Josse ,je vois qe la vie ne t'as pas épargné, tu le dis trop bien pour ne pas l'avoir vécut, c'est plein de tristesse mais il n'y a pas de rancune plutot comme une fatalité, c'est vrai que notre route est tracée,il faut la prendre à pleins bras et faire avec , ce qui n'est pas toujours simple gros gros :GTAA: :GTAA:
Très émouvant ma Puce, ton poème ! La vie n'a pas été facile pour toi, ça se ressent. Heureusement, tu es très courageuse et tu as su remonter la pente. Bisous à toi mon amie et...
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Sujet: Re: Poésie... Mar 4 Mar 2008 - 11:43
Josse poème d'autant plus émouvant que j'ai l'impression de revivre mon enfance. Merci, c'est trop beau. :GTAA: :GTAA: :GTAA:
Je me suis mis martel en tête Et depuis je ne sais quand, Je projète de changer de tête Comme on change de vêtement Je n’ai que cette idée en tête La mienne ne me revient pas… ! C’est un vrai coup de tête ! Laquelle choisir parmi celles-là? Tête de linotte ? Un peu trop petite pour moi !Tête de mule ? Est-ce vraiment une tête pour moi ? Tête à claque ? Non, celle-là je la connais déjà ! Tête à tête ? Impossible je n’en ai qu’une !
Tête de bois ? Non, elle travaille assez comme ça ! Tête de mort ? Un peu tôt pour celle-la ! Tête folle ? N’ai-je pas déjà eu cette tête-là ? Tête en l’air ? A quoi ressemble-t-elle déjà ? Ma tête ? dis-moi miroir : Est-elle plus bête qu’une autre ? Il me faudrait pour le savoir Connaître celles des autres… !
Date de création : 06/02/2005 @ 01:45 ANONYME CE POEME
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Sujet: Re: Poésie... Mar 4 Mar 2008 - 13:16
josse32 a écrit:
Périllos a écrit:
Josse poème d'autant plus émouvant que j'ai l'impression de revivre mon enfance. Merci, c'est trop beau. :GTAA: :GTAA: :GTAA:
PERILLOS ALORS TU SAIS QUOI ? PREND MA MAIN ON SERA MOINS SEULE
Bien sûr que je la prends ta main Josse. Comme toutes les mains qui me sont tendues sur ce forum et elles sont nombreuses. Assez pour ne pas être seuls.
Tu vois tes premiers vers c'est ma vie quand j'étais gamin. Sans maman, j'ai été élevé par une belle mère. Mot que je récuse pour cette personne, décédée depuis peu (paix à son âme ?). Ni belle, ni mère. Acariâtre oui.
Je connais donc le courage qu'il t'a fallu pour t'en sortir. :GTAA: :GTAA: :GTAA:
c'est quoi une ame,c'est le moteur de la vie sans elle ,je ne peux pas vivre si un jour cette âme s'en va je ne serais plus là c'est quoi un coeur,le moteur de mon corps c'est l'écrin de mon âme si un jour il arrête de battre je ne serais plus là c'est quoi ,c'est deux bras c'est deux choses que j'ai, c'est pour pouvoir te serrais quand tu en a besoin c'est quoi ses deux jambes c'est la même chose que les bras c'est pour courir auprès de toi quand tu en a besoin c'est quoi les oreilles c'est pour entendre ,tes appels quand tu en as besoin c'est quoi les yeux alors la ,c'est la plus belle chose ,que j'ai grâce a eux je vois si tout va bien pour toi si c'est le cas, mes yeux seront remplis de larmes de joie si c'est le contraire mes yeux seront remplis de peine et couleront de larmes qui accompagnera les tiennes c'est quoi l'amitié c'est tout ces phrases que je viens d'écrire c'est tout simple être la pour toi 'ami ou amie
LA PUCE LE 4/03/06
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Sujet: Re: Poésie... Mar 4 Mar 2008 - 16:16
josse je pense que pas mal de personne se retrouve dans tes poemes
et ça c'est parfois simple et complexe si on a beaucoup souffert comme parillos et bien je me revois dedans et maintenat je sourie mais que ça ete long et difficile dit arrive marcgre tout et bien la vie est la et on y tiens aussi :BRAO: :BRAO: aplus
Atchoum ! … Atchi !! … M’arv’ là cor pris ! Ej’ n’in sus pon gramint surpris, Car ch’est pour mi, el’ même rengaine A chaque fos qu’ l’hiver qu’a’ s’ ramène !
Atchi ! … Em’ n’émouquoir nasal Qui n’ peut pon sintir el’ mistral, Pindant huit jours i va cor braire, (pleurer) Atchi ! … parell’mint qu’eun’ gouttière !
Et quand ches écluses all’ s’arrêter’ont, Atchoum ! … mes paufes narennes all’ s’ ront Doreusses, rouches comme de l’ confiture, (douloureuses) Atchi ! … au mitan de m’ figure !
Pourtant, je n’ n’ai eu chelle fos-chi, Des précautions … Atchoum ! … Atchi ! Quand j’ai r’sintu l’ timpérature Ardévenir un molé pus dure ! (un petit peu)
J’ai eu bieau laicher mes cavieux (cheveux) Si longs qu’ cheux d’ nou premiers aïeux, Atchoum ! … et rintortiller m’ tête Par nuit d’eun’ épaisse colinette, (bonnet de nuit)
Ch’est comme si … Atchi ! … Tout bonn’ mint, Pour m’épargner d’ z’éternumints, Qu’ j’avos toussé dins eun’ grosse caisse Car min nez, quoi qu’ ch’est qui i incaisse.
I est déjà … Atchoum ! ... Atchi !... Comme eun’ vraie tomate ingrochie ! (grossie) Et comme … Atchoum !... Atchi ! ...ed’ pus belle, Ches gouttes qu’all’ ardévallent de m’ chervelle,
N’ayant pus pour les archuvoir, Atchoum ! ... Qu’eun’ lavette ed’ mouquoir, (mouchoir) J’ queurs … Atchi ! … à mon Artémiche, Li d’ mander un morcieu d’ pan d’ quémiche ! (chemise)
Magali, Magali Qu'est-c'qui m'a pris de t'emmener aux Saintes Maries de la Mer Ah si j'avais pu deviner que le malheur était dans l'air Magali Tu as préféré les guitares au son des fifr's et tambourins La farandole provençale ne me donnera plus la main
Entendi leï tambourinaïre, e mé leï fifre per dansa L'amour que pourra pas se taïre, e ne jamaï se repaua Magali E lou souleu de la Camarguo mi fa tan mau au foun d'au cuor Qué si ridé ieu, que mi narguo, es besaï l'ouo de ma muor
Magali, Magali qu'est-c'qui t'a pris de t'en aller pour le pays de nulle part Parc'qu'un gitan t'a regardée en faisant chanter sa guitar' Magali Toute la Crau résonne encor d'Arles et de Nîmes jusqu'à Marseille De ma voix qui criait si fort que j'ai gardé mal aux oreilles
Entendi leï tambourinaïre, e mé leï fifre per dansa L'amour que pourra pas se taïre, e ne jamaï se repaua Magali E lou souleu de la Camarguo mi fa tan mau au foun d'au cuor Qué si ridé ieu, que mi narguo, es besaï l'ouo de ma muor
Magali, Magali sous le soleil de la Provence, ma tête est prête à éclater J'entends les fifres qui s'avancent, rien ne peut plus les arrêter, Magali Ma tête cogne encor plus fort, le soleil n'a plus de pitié Qu'est-c'qui t'a pris de me quitter ?
Entendi leï tambourinaïre, e mé leï fifre per dansa L'amour que pourra pas se taïre, e ne jamaï se repaua Magali E lou souleu de la Camarguo nous va tan bencuo dansen Embrasse mi que ti regardo Oh ! Magali dansen Ensen Dansen Ensen Ensen
(Refrains en français:)
1- Oh! Magali, tu te rappelles ces tambourins, comme ils sonnaient La farandole était si belle jusqu'à l'espère, on l'a dansée Magali depuis trois jours dans la Camargu, je te réclame sans arrêt Avec ce soleil qui me nargue, en tournoyant dans les cyprès
2- Oh! Magali, que tu me manques, voici déjà les tambourins La farandole est impatiente de nous revoir main dans la main, Magali Et le soleil de la Camargue se moque de me voir languir Oh je t'en prie, si tu t'attardes les tambourins vont repartir
3- Oh! Magali, je te retrouve, ne me refuse plus ta main La farandole enfin s'entrouvre, nous danserons jusqu'au matin, Magali, Et toute entière la Camargue fait résonner cent mille accords,
Magali-Robert Nyel-1962.
Invité Invité
Sujet: Re: Poésie... Mer 5 Mar 2008 - 8:33
:BRAO: ..... votre patois est beaucoup plus chantant que le notre
l’inchiferné c'est l'enrhumé .....c'était évident pourtant
L'homme insulté‚ qui se retient Est, à coup sûr, doux et patient. Par contre, l'homme à l'humeur aigre Gifle celui qui le dénigre. Moi, je n'agis qu'à bon escient : Mais, gare aux fâcheux qui me scient ! Qu'ils soient de Château-l'Abbaye Ou nés à Saint-Germain-en-Laye, Je les rejoins d'où qu'ils émanent, Car mon courroux est permanent. Ces gens qui se croient des Shakespeares Ou rois des îles Baléares ! Qui, tels des condors, se soulèvent ! Mieux vaut le moindre engoulevent. Par le diable, sans être un aigle, Je vois clair et ne suis pas bigle. Fi des idiots qui balbutient ! Gloire au savant qui m'entretient !
J'avais toujours rêvé le bonheur en ménage, Comme un port où le cœur, trop longtemps agité, Vient trouver, à la fin d'un long pèlerinage, Un dernier jour de calme et de sérénité.
Une femme modeste, à peu près de mon âge Et deux petits enfants jouant à son côté ; Un cercle peu nombreux d'amis du voisinage, Et de joyeux propos dans les beaux soirs d'été.
J'abandonnais l'amour à la jeunesse ardente Je voulais une amie, une âme confidente, Où cacher mes chagrins, qu'elle seule aurait lus ;
Le ciel m'a donné plus que je n'osais prétendre ; L'amitié, par le temps, a pris un nom plus tendre, Et l'amour arriva qu'on ne l'attendait plus
Un petit bougnat, un sac de charbon sur son dos, croule sous le poids de sa charge. Le visage recouvert de suie effaçant son identité. Un visage amaigri, les traits tirés malgré son jeune âge. La sueur dégoulinant le long de son front, comme des larmes de désespoir. Sa journée terminée, il passe inaperçu dans ses habits, gris noirs. Le petit charbonnier épuisé, exténué, sans autres désirs que dormir, rejoint d'un pas lent, les épaules en avant et le regard bas, le seul endroit qu'il ait trouvé pour s'abriter, une vieille grange abandonnée. Il se couche sur sa paillasse, le corps meurtri, n'ayant même plus la force de souper. Et puis souper quoi? Comme il aime le dire, qui dort dîne. Le petit auvergnat sombre dans un profond sommeil. Tel un bagnard, il rêve d'un gros morceau de lard et d'une grosse miche de pain. Le lendemain à l'aube, il se lève. Se débarbouille rapidement la figure, et prend son petit déjeuner. Maigre collation, une soupe au sel accompagnée d'un vieux croûton de pain sec. Puis, il repart la tête basse et le regard triste, pour une nouvelle et dure journée de labeur. Petit charbonnier,tu vis les boulets aux pieds, tu portes sur tes épaules le poids de tes malheurs. Que connais-tu de la vie? Que connais-tu de l'amour? Connais-tu l'amitié, au moins la fraternité dans ton métier? Que t'apporte la vie? Travailler comme un négrier? Mendier pour manger? Mieux vaut partir sur la route à l'aventure, maître de ton destin. Partir chercher le bonheur, plutôt que d'attendre ta dernière heure. Tu n'as rien à gagner. Tu n'as rien à perdre. Plus rien ne te retient. Plus de boulets aux pieds. Le dos redressé. Un teint de porcelaine. Un sourire aux lèvres sans reflets de peine ni de haine. Un nouveau jour. Un nouveau départ. Petit auvergnat va où le chemin te conduira. Avec pour toute richesse, ta liberté
Contribution du : 21/11/2007 21:42 _________________ titie