Poésie...

Poupy a écrit:

mona a écrit:

J'ai vérifié c'est Pascal Danel
mais l'erreur est humaine
Bisous Lucifer elle est vraiment d'actualité surtout en ce début de printemps qui nous apporte la neige

L'erreur est humaine........surtout si l'on passe la moitié de la nuit chez Marcelle......

ok je sors....

Et comment tu sais ça toi ?

Dis Josse tu l'as descendu aussi rapidement
ben dis donc tu n'en as laissé pour personne
heureusement que j'ai ma petite réserve personnelle
bisous,tu as raison de te faire plaisir quand l'occasion se présente

Dedoo a écrit:

Bonjour Lucifer. A mon idée le titre
'Les neiges du Kilimandjaro' est l'oeuvre de
Pascal Danel !

Je pense que tu as raison mais j'ai pris ça sur un blog . En tapant "les neiges du kilimandjaro" dans la barre Google, 2ème paragraphe, ça t'amène droit sur C. Jérôme donc je ne me suis même pas posé la question : j'ai fait un simple copier-coller. Mea Culpa, j'aurais du approfondir la chose

Très bien tourné, ma Puce, ton poème sur la boisson.
Tu as quand même une sacrée descente, je n'aimerais pas la remonter en vélo

Je ne voudrais pas vous importuner avec mes poèmes persos mais j'ai envie, aujourd'hui, de vous mettre celle que j'ai écrit un mois après le décès de mon époux. Comme la chasse était sa grande passion, c'est sur ce sujet que je l'ai composée.

L'OMBRE DU CHASSEUR

Je suis à tes côtés pourtant... tu n'es plus là !
Je marche dans tes pas, comme par le passé,
Faisant corps avec toi, toute entière aux aguets,
Je refais les chemins parcourus près de toi.

Tes chiens ne comprennent pas : eux aussi, ils écoutent,
L'oiseau peut s'envoler, tu ne tireras plus.
Ils cherchent je ne sais quoi, dans ce sentier perdu :
Ton absence je crois les inquiète, les déroute.

A deux pas du buisson, patte en l'air, ils arrêtent...
Nul encouragement ne viendra plus jamais !
L'oiseau prend son envol, les chiens sont dépités
Leur regard semble dire : "où est passé mon maître ?"

Puis nous errons, sans but, pour revivre les heures
De ces parties de chasse que nous faisions, heureux.
Seul l'écho de tes pas m'apaise, peu à peu :
Je marche désormais dans ton ombre... chasseur !

Annie Quinet 5 Novembre 2006.

Tu nous gênerais si tu n'en mettais plus

Merci Lucifer
C'est trés beau,triste et émouvant à la fois
Merci

DOUCE, CHANTAL, MONA, JE VOUS ADORE !!! MERCI

Lucifer63 a écrit:

Je ne voudrais pas vous importuner avec mes poèmes persos mais j'ai envie, aujourd'hui, de vous mettre celle que j'ai écrit un mois après le décès de mon époux. Comme la chasse était sa grande passion, c'est sur ce sujet que je l'ai composée.

L'OMBRE DU CHASSEUR

Je suis à tes côtés pourtant... tu n'es plus là !
Je marche dans tes pas, comme par le passé,
Faisant corps avec toi, toute entière aux aguets,
Je refais les chemins parcourus près de toi.

Tes chiens ne comprennent pas : eux aussi, ils écoutent,
L'oiseau peut s'envoler, tu ne tireras plus.
Ils cherchent je ne sais quoi, dans ce sentier perdu :
Ton absence je crois les inquiète, les déroute.

A deux pas du buisson, patte en l'air, ils arrêtent...
Nul encouragement ne viendra plus jamais !
L'oiseau prend son envol, les chiens sont dépités
Leur regard semble dire : "où est passé mon maître ?"

Puis nous errons, sans but, pour revivre les heures
De ces parties de chasse que nous faisions, heureux.
Seul l'écho de tes pas m'apaise, peu à peu :
Je marche désormais dans ton ombre... chasseur !

Annie Quinet 5 Novembre 2006.

LUCIFER
Je ressens un coup de bluzz ,lucifer
j'espére que tu va va bien

Merci ma Puce pour ce compliment ! Bof, j'ai aussi parfois des coups de blues mais ça ne dure jamais longtemps. et puis tu es là, vous êtes tous là et ça, ça remonte le moral. Figure toi que, comme je pensais partir la première, j'avais composé le texte que mon époux devait lire pour moi. Mais non je ne suis pas morbide mais je savais très bien qu'il n'aurait pas su quoi dire alors j'avais devancé.
Allez, tant qu'on y est, autant que ça serve que je me sois creusé la cervelle, voici mon "testament", même si maintenant il n'a plus lieu d'être.

SI UN JOUR...

Si un jour je disparaissais
De la surface de la terre
Il ne serait pas nécessaire
Vois-tu, ami, de me pleurer.

Je n'apprécie pas cette vie ;
J'aurais nulle peine à m'en aller
A part celle de te laisser...
Je sais que tu le pense aussi.

Compagnon de mes infortunes
Tu m'as aidé à traverser,
Lorsque j'avais le coeur brisé,
La morne plaine des rancunes.

Cent fois tu m'as tendu la main,
Cent fois tu as sêché mes pleurs...
Quand j'avais froid, quand j'avais peur,
Tu m'inventais des lendemains !

Je sais que tu respecteras
Tout ce qui a été ma vie ;
Ce que je demande, aujourd'hui,
A ma mémoire tu le devras :

Si un jour je disparaissais
Trace-toi un autre chemin,
Une autre vie, et dis-toi bien
Que c'est cela que je souhaitais !

Annie Quinet
(écrit le 1er Novembre de l'année 1991.)

Ben dis donc
En voilà des idées
c'est beau !c'est triste
alors si tu peux essaie de coucher quelque chose de plus guilleret
car c'est ce qu'il me faut avec l'arrivée des beaux jours
je te lis avec beaucoup de respect ,car tes poèmes exhalent tous les sentiments que je ne peux pas étaler
Merci Lucifer
mon amie

cheres amies ,je viens vous lire chaque soirs avant d'aller me coucher ,j'ai trouvé cette citation en rapport avec ton poeme ma lucifer


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mona a écrit:

Ben dis donc
En voilà des idées
c'est beau !c'est triste
alors si tu peux essaie de coucher quelque chose de plus guilleret
car c'est ce qu'il me faut avec l'arrivée des beaux jours
je te lis avec beaucoup de respect ,car tes poèmes exhalent tous les sentiments que je ne peux pas étaler
Merci Lucifer
mon amie

Mais non ma Mona ce n'est pas triste puisque je suis bien vivante ! as-tu vu la date que je l'ai composé ? J'ai eu de biens beaux jours entre temps, ce ne sont que des mots après tout. et puis maintenant, si je venais à disparaitre à mon tour...
je vois mal ma chêvre ou mes poules lire ce texte !

Poème du jour.

Cet après-midi il faisait grand beau temps !
Paresseusement assise sous le vieux merisier,
J'écoutais par plaisir les oiseaux qui piaillaient
Et je me disais "chic, on va vers le printemps !"

Rouges-gorge et citelles s'accrochaient aux boules
De graisse qui pendaient des branches dénudées.
Mes deux chiens qui chassaient en rêve japillaient,
Le ruisseau à mes pieds murmurait : c'était cool !

Engourdie et rêveuse, je me suis déplacée
Pour récupérer sur le banc ma tabatière
Mais je n'avais pas vu la chêvre qui, par derrière,
M'avait bouffé moitié du programme de télé !

Brusquement réveillés par mes imprécations
Les chiens ouvrent un oeil, de l'air de me dire
"non mais, ça va pas ?..." Que faire d'autre que sourire
Devant l'incohérence de telle situation ?

Un bout de télé Z coincé entre les dents,
La bique me regardait de ses grands yeux noisette.
A l'autre bout du pré, un chat et sa minette
Guettaient la musaraîgne dans l'herbage naissant.

J'ai donc repris ma place, ma prise et mon crayon
Pour essayer de faire quelques mots flêchés
Et le soleil, complice, est venu caresser
Les pierres et le pisé de ma vieille maison

Et là, subitement, j'ai pensé au Chalet,
A vous tous, mes amis, qui comme moi attendez
Même enrobé d'humour, quelques mots d'amitié.
Et j'ai besoin, ce soir, de vous remercier

Car si notre Chalet n'est qu'un lieu virtuel,
Si dans les avatars je m'embrouille, quelquefois,
Quand je pense à chacun j'éprouve une grande joie
Et mon amitié, pour vous, est bien réelle !

Annie quinet. Après-midi du 27 Mars 2008.

Je n'avais pas eu le temps ce matin de lire tout ça

Tatie Lulu, elle est géniale

MERCI Chantal, Douce, Josette, Mona, ma Puce, mes amies ! Je fais ce que je peux, même si je peux peu (on peu toujours faire mieux) et tant pis si je me répète

En cette belle matinée, ensoleillée, joyeuse
Je prends par mes chemins une allure amusée
Car je croise en ces lieux des âmes généreuses
Qui me donnent envie de croire et les aimer.

Les mots ici écrits reflètent bien l'esprit
Que j'aime à y trouver et à y partager.
Et si quelques sonnets, mais joliment trouvés,
Suffisent à mon bonheur, que puis-je espèrer d'autre ?

Que les graines semées puissent y prospérer
Grandir, et vers des fleurs, des arbres enfin nous amener.
Car ce jardin secret, vous le savez aussi
C'est un trésor caché et c'est le nôtre aussi.

bonjour MAJOR
et merci pour tes ecrits
bon WE a toi :22pmi:

josse32 a écrit:

LES NOTES

DOuce tu peux être ,moi je te préfère
REveuse,tu nous emporte au loin
MIraculeuse,tu enlèves les soucis
FAcile a retenir ,tu peux être!!
SOlfege,pas besoin,je t'ai dans la tête
LA musique adoucit les coeurs
SI, des mots accompagnent,cet air
DOnne nous le ton,et commençons
a te fredonner, c'est fait ,
du rhytme,c'est presque parfait
cela s'appelle la musique des mots,
avec l'âme que lui donne des notes
et tout cela pour nous permettre de s'évader
on se dehanche,on danse ,on chante
sur cet air qui nous enchante
ou relaxe sur un divan,yeux fermés
je me laisse emporter et je me mets a rêver
quoi de plus beau,qu'une douce mélodie
même si celle ci et completement débile
cela resteras toujours des notes de la musique
la vie n'est- elle pas une chanson
pourtant c'est toujours le meme refrain


LA PUCE LE 29/03/08

Bonsoir ma Puce !
SUPERBE ton poème avec ces notes de musique : ill fallait y penser !
Grand merci pour ton talent, ton humour et ta générosité.
J'adore tes écrits.gos bisous à toi ma petite Puce.